Sacré de Birmanie : histoire, caractère, alimentation, entretien, santé et assurance

Le Sacré de Birmanie était vénéré à l’époque. Doux et affectueux, cette race délicate à l’allure magnifique est un compagnon à moustaches idéal pour ceux qui recherchent un chat calme et gentil à la fois.

Tout savoir sur l’histoire du Sacré de Birmanie

Le Birman serait originaire de Birmanie. Un chat de cette espèce aurait été offert à des visiteurs par des moines vivant dans le temple de Lao-Tsun. Ils vivaient en harmonie avec cette race. Toutefois, il serait issu d’un croisement fait en France entre un Siamois et un Persan selon d’autres histoires. Les premières expositions de Sacré de Birmanie voient le jour en 1926. La célèbre couleur « Blue Point » fera son apparition en 1957. Aujourd’hui, cette race de chat est très populaire en Europe.

La morphologie

Le Birman est un chat à poil mi-long et de grande taille. Il arbore le motif appelé « colour-point ». Comme le Siamois, la tête, les oreilles, les quatre pattes et la queue sont de couleur plus foncée que le reste du corps. Il est reconnaissable par ses pattes gantées de blanc et ses grands yeux ronds et bleus. Les différentes robes autorisées dans le standard de la race sont le blue point, chocolat, lilas, red, crème, tortie, silver et tabby.

Les traits de caractère

De nature sensible et timide, ce chat est toutefois un animal fidèle à son maître avec qui il lie une relation forte et affective. Il a besoin de calme et reste un chat sociable qui aime jouer et ceci même à un âge plus avancé. Il a besoin d’un maître présent auquel il pourra s’attacher et demander beaucoup d’attentions. Bien qu’il soit réservé avec les inconnus, il est gentil avec les autres animaux et les enfants. Il a hérité de la tranquillité du Persan et de la communication du Siamois ainsi que de son intelligence.

Les conditions de vie

Ce chat somptueux s’adapte très facilement à la vie d’appartement et à la vie de famille. Toutefois, l’espace intérieur a besoin d’être équipé avec des jouets distrayants, des arbres à chat, des griffoirs, des postes d’observation et des couchages douillets.

L’alimentation du Sacré de Birmanie

À chaque stade de la vie du Sacré de Birmanie, il a besoin d’une alimentation adaptée, saine et équilibrée. Certaines marques proposent des croquettes complètes spécialement conçues pour cette race de chat. Un apport en acides gras essentiels (oméga 3 et 6), dans les huiles de poissons par exemple, permet de prendre soin de la peau et du pelage de ce beau chat.

L’entretien du pelage

Avec un poil mi-long, le Sacré de Birmanie demande un entretien fréquent. Un brossage plusieurs fois par semaine est nécessaire pour éviter les nœuds et les bourres de poils. Ce soin est à accentuer lors des périodes de mue, car la perte des poils est abondante.

Les problèmes de santé fréquents

Ce chat ganté est sujet à diverses maladies héréditaires comme la polykystose rénale, la cardiomyopathie hypertrophique et la mucopolysaccharidose de type 6.

Le prix d’un chaton Sacré de Birmanie

Un chaton Birman coûte entre 700 et 1500 euros. Le tarif varie selon le sexe de l’animal, la couleur de la robe, la lignée, s’il est stérilisé ou non et en fonction de la réputation des élevages félins.

Adopter un Sacré de Birmanie : la formule d’assurance la plus adaptée

Souscrire une assurance pour le Birman permet de veiller sur sa santé et son bien-être à long terme. Elle offre la tranquillité d’esprit en sachant qu’il est possible de lui offrir un accès aux soins vétérinaires en cas de maladies ou d’accidents. Et ce, sans que le maître se soucie des dépenses imprévues. Chez Assur O’Poil, les formules les plus conseillées sont la Chat + à 60 %, l’Intégrale à 80 % et la Confort à 100 % (- 30 euros de franchise par acte). Chaque protection détient un forfait déductible pour la stérilisation et la vaccination. Une Garantie Assistance 7j/7 et 24h/24 est également incluse dans le monde entier. Il est tout à fait possible de changer vers une formule supérieure. Pour cela, lors de la première année d’adhésion, il suffit d’attendre la date d’anniversaire. Pour les années suivantes, au mois de janvier.